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Du 26 au 28 août
Grand PRUNEAUX Show
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Agen, organise la 7° édition de ces festivités.
Gourmandises…dont le célèbre fruit sec…offert à la dégustation !
Animations diverses et trois concerts gratuits (place de la l’hôtel de ville).
Cali, artiste catalan, se présentera ce soir dès 22h.
Zag, suivra demain soir, même heure.
Louis Chedid fera la clôture de ces 3 journées de fête dimanche à 18h30.
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Espérons que le public,
chaque année plus nombreux,
ayant déjà applaudi Johnny Clegg, Y. Noah ou Y. Buenaventura….
viendra malgré la pluie chaude qui s’impose en ce-moment…
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Le pruneau ?
Le pruneau est le fruit séché d’une prune (quetsche) pour une conservation autre que sous forme de confiture (par le sucre).
Dès 1821, le Dr Tarry (Sté d’agriculture) fit mention de l’appellation
« Pruneaux d’Agen »….
la zone concernée s’étendant sur un rayon de 30/40km.
En 2000, le Label bénéficia d’une protection européenne IGP.
Favoris des marins qui en emportaient pour éviter le scorbut,
appréciés des gourmands et des cuisiniers
nature pour l’accompagnement de viandes ou sucrés pour la confection de succulents desserts,
il fut introduit dans le Nouveau Monde au XIX° siècle.
Depuis,
si la France est le 2ème producteur mondial
la production californienne est grandement supérieure en tonnage.
Mais en qualité gustative ?
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Autre 26 août
Naissance en 1880 à Rome de
Guillaume Apollinaire
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Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l’onde si lasse
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
L’amour s’en va comme cette eau courante
L’amour s’en va
Comme la vie est lente
Et comme l’Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure .
« Le Pont Mirabeau »
Alcools (1912)
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C’est une autre sorte de « pruneaux » qui le toucha à la tête
entraîna sa mort lors de la 1er guerre mondiale
http://osee.unblog.fr/2008/08/17
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devant une télévision déconcertante de nous parler d’un homme malade du sexe… je mange des pruneaux d’Agen bien sur!! et rêve d’un amour enfui qu’Apollinaire avait déjà si bien décrit..
amitiées babeth
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Les pruneaux d’Agen
du soleil dans les assiettes !
Amitié, Annie
Dernière publication sur Histoire de Lucien : 1925 : gâteau de riz à la royale