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un caractère exceptionnel
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Né le 2 septembre 1924 à Volomin (banlieue de Varsovie),
il arriva, avec sa famille fuyant les pogroms, à Ménilmontant en 1926.
Refusant de poursuivre ses études, bien que très doué,
il entra chez Renault avec un CAP d’ajusteur,
où il gravit tous les échelons du militantisme à la CGT.
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Résistant, comme son père,
arrêté le 20 janvier 1943, déporté à Birkenau et gazé,
il fut pris le 23 mars 1943
puis fut l’un des 86 rescapé sur le 1002 emprisonnés.
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Devenu secrétaire général du PCF,
il fut l’un des négociateur des Accords de Grenelle en 1967.
On lui doit, notamment, l’indemnisation du chômage.
Ce qu’il pensait de lui ?
« Mes origines n’ont rien d’extraordinaires, il se trouve d’ailleurs qu’elles sont les mêmes que celles du cardinal archevêque de Paris JM Lustiger ( comme lui d’origine juive polonaise).
Ses parents et les miens ont, à peu d’années d’intervalle, vécu la même histoire, bien qu’avec des idées différentes.
Je ne peux m’empêcher d’observer que si, par hypothèse, les circonstances de la vie m’avaient fait archevêque, on évoquerait aujourd’hui mes origines avec tact, sans insinuation perfide.
Et si je comptais parmi mes ancêtres quelques grands princes polonais, alors là… «
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Il n’y a pas d’arme plus violente
des patrons contre leurs employés
que le chômage
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Bonne fête
aux
Ingrid
(et dérivés)
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Du 1er au 8
l’hirondelle fuit
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