Simone Signoret
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Née le 25 mars 1921 à Wiesbaden,
son père André Kaminka, d’origine juive polonaise, fut speaker à Radio Brazzaville
sa mère G. Simonet lui offrit son nom de scène.
Réfugiée en Bretagne pendant la guerre, elle fit une partie de ses études à Vannes ; (où elle eut comme professeur d’histoire Lucie Aubrac).
Secrétaire de J. Luchaire, elle commença par faire de la figuration avant qu’Yves Allégret lui donne ses premiers grands rôles.
Ils eurent une fille Catherine en 1946, se marièrent en 48.
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En 1954 elle achèta une propriété avec Yves Montand qui deviendra son compagnon.
Autheuil-Anthonillet sera un lieu de rencontres avec le milieu artistique et intellectuel ; elle y recevra tout ce qui compte dans la profession ou le monde des idées.
Une filmographie importante et de qualité lui permettra de tourner avec les plus grands metteurs en scène tout en jouant avec tous les grands talents du cinéma.
Casque d’or (Becker), Les diaboliques (HG Clouzot)), Manèges, Le chat, l’aveu, La veuve Couderc, etc
seront l’occasion de montrer sa palette de comédienne.
Elle à reçu l’Oscar de la meilleure actrice et 1960 avec Les chemins de la haute ville,
puis le César de la meilleur actrice en 1978 pour La vie devant soi.
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Simone
bienaimée par le public ,les citoyen(ne)s,
a écrit trois livres :
La nostalgie n’est plus ce qu’elle était, Le lendemain elle souriait, Volodia ;
elle s’éteignit, suite à un cancer du pancréas,
le 30 septembre 1985 dans sa propriété.
Paix à son âme.
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Bonne fête
aux
Jérôme
(et dérivés)
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A la St Jérôme
hotche tes pommes
St Jérôme venu
sors la charrue
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